Devant l’échec patent de l’accord pour la paix et la réconciliation nationale issu du processus d’Alger, version 2015, à ramener la paix et la sécurité au Mali, malgré la présence de milliers de soldats étrangers et les sommes astronomiques investies dans la guerre au Mali : réclamons un débat souverain sur cet accord pour trouver les solutions pérennes.
Depuis 2012, de Kayes à Kidal, le Mali souffre, et avec lui le Sahel, chaque jour un peu plus, des conséquences de la rébellion menée par une minorité de Touareg. Rébellion qui a permis aux terroristes et aux narcotrafiquants de s’installer durablement dans le nord du Mali, avec la complicité établie des rebelles.
Les Touareg, qui représentent environ 2% de la population malienne et entre 20 et 25% de la population du Nord du Mali, ont pris les armes pour revendiquer l'indépendance des 2/3 du territoire malien, au prétexte que le nord du Mali serait un territoire touareg devant leur revenir en exclusivité.
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